«De Washington, certains membre du Congrès ont accusé le Président américain Donald Trump de s'être assis à la table du diable en acceptant cet accord [sur la création avec la Russie d'un groupe de travail sur les questions de cybersécurité, ndlr]. Je pense que ce genre de position est caractéristique des enfants. Si elle est préoccupée par quelque chose et soupçonne la Russie de mener des actions illégales, toute personne normale trouvera son intérêt à parler directement avec celle qu'il suspecte», a-t-il déclaré dans une interview accordée à la chaîne kurde Rudaw.
Le premier tête-à-tête entre Donald Trump et Vladimir Poutine a eu lieu le vendredi 7 juillet à Hambourg, en marge du sommet du G20. Le Président Donald Trump a qualifié de «formidable» sa première rencontre avec le dirigeant russe.
Lors d'une conférence de presse donnée à l'issue du sommet, Vladimir Poutine a souligné que le groupe de travail permettra à l'avenir d'éviter toute l'incertitude qui pourrait exister entre les deux pays dans le domaine de la cybersécurité.