«En cas d'entretien "à la volée", Poutine parle souvent anglais lui-même. Mais en cas de négociations et de rencontres officielles, il recourt bien sûr à l'aide d'un interprète, bien que le Président comprenne presque tout lui-même et qu'il ne soit pas rare qu'il corrige parfois même ce dernier. Les interprètes traversent toujours des moments de crise lors de rencontres au plus haut niveau, ce dont je peux moi-même attester. Ce stress m'est familier», a-t-il expliqué.
D'ailleurs, Vladimir Poutine a eu l'occasion de «pratiquer son anglais» à l'issue de son premier tête-à-tête avec Donald Trump qui s'est déroulé vendredi à Hambourg, en marge du sommet du G20, et a duré près de deux heures et demie. À son arrivée à la Maison-Blanche, Donald Trump, qui ne cache pas son admiration pour Vladimir Poutine, avait laissé entrevoir un rapprochement entre leurs deux pays.