Concernant la question de savoir s'il envisageait de les fermer définitivement, le ministre a répondu assez catégoriquement:
« Forcément. Nous n'en avons pas besoin. Il faut qu'il n'y ait aucun jardin d'enfants islamiques », a-t-il souligné.
À cette fin, le chef de l'ÖVP a appelé à ne pas y aller par quatre chemins et à rendre plus strictes les critères de qualité actuels, notamment le niveau de maîtrise de l'allemand des assistantes maternelles des jardins d'enfants islamiques situés en Autriche, dont le nombre s'élève à environ 10.000 établissements rien qu'à Vienne.
En outre, a-t-il poursuivi, les jardins d'enfants arabes ou tchétchènes qui ne répondent pas à ces critères devraient être fermés sous peu.
«C'est la voie réglementaire la plus facile pour y parvenir », a-t-il conclu.