« Nos partenaires à l'échelle internationale ont toujours considéré la Russie comme une concurrente considérable et ont imposé des sanctions sous tel ou tel prétexte. On peut l'observer toute au long de notre histoire. Je fais allusion non seulement à l'époque soviétique, mais encore à des périodes beaucoup plus éloignées. Il n'y rien d'étonnant là-dedans », a-t-il indiqué.
Au demeurant, « les nouvelles sanctions des États-Unis contre la Russie, actuellement examinées par le Sénat, sont adoptées sans aucun motif valable, rien d'extraordinaire ne s'est produit. Les sanctions américaines ont provoqué une chute de 1 % du PIB russe. La Russie a perdu 50 à 52 milliards de dollars en raison des sanctions, et ceux qui les ont adoptées 100 milliards », a-t-il tenu à souligner.
