Des chercheurs de l'Institut Max Planck ont réussi à déchiffrer l'ADN de 90 momies égyptiennes, prouvant que le matériau génétique s'était conservé malgré la sécheresse, la chaleur et l'embaumement, annonce la revue Science.
Selon la revue, les chercheurs ont pris des momies découvertes dans un ancien village situé à une centaine de kilomètres du Caire.
L'analyse a démontré que les habitants de ces lieux ont un ADN semblable à celui des habitants modernes du Proche-Orient, surtout de la région du Levant.
Les chercheurs soulignent que l'analyse a permis d'affirmer que le matériau génétique étudié appartenait justement à de très anciens habitants de l'Égypte et que l'ADN des habitants actuels n'est pas très différent de celui des anciens.
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