Les chances sont fortes que les survivants d'une explosion nucléaire puissent sans crainte étancher leur soif avec une bière ou un soda. Les conséquences de la consommation d'une telle boisson seraient en effet insignifiantes pour la santé, rélève le journaliste Robert Krulwich sur son blog.
Dans le cadre de l'expérience, les chercheurs ont également étudié les conséquences d'une frappe nucléaire sur les canettes et bouteilles de verre, disposées à des distances différentes de l'épicentre.
L'expérience de 1945 a conduit à une étude produite en 1957 et intitulée « L'impact des explosions nucléaires sur les boissons commercialement emballées ». Deux bombes avaient explosé en 1956 un avec une puissance équivalente à 20 et 30 kilotonnes de TNT respectivement, rappelle M. Krulwich. Un certain nombre de canettes et de bouteilles avaient été enterrées et certaines avaient été laissées à la surface du sol. Les boissons les plus proches se trouvaient à seulement 300 mètres de l'épicentre de l'explosion, souligne le Business Insider.
Les chercheurs ont ainsi conclu qu'il était très possible, du moins en cas d'urgence, de boire de la bière post-nucléaire.
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