La plupart des téléphones modernes, affirment les chercheurs américains, enregistrent plusieurs images de fragments isolés d'une empreinte digitale. De plus, certains portables permettent de sauvegarder les empreintes de plusieurs doigts. L'appareil est déverrouillé s'il reconnaît au moins l'un des fragments, ce qui accroît sa vulnérabilité.
En réunissant ces données, les chercheurs ont entamé l'élaboration d'une super-empreinte synthétique. Le simulateur a montré qu'une telle invention pouvait déverrouiller entre 26 et 65 % des smartphones. C'est un résultat impressionnant, sachant que l'empreinte mise au point avait un maximum de 5 tentatives pour débloquer l'appareil. Les spécialistes américains pensent que ce problème peut être réglé en augmentant la sensibilité des capteurs de smartphones.
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.