Le professeur Neil Gemmell de l'université d'Otago en Nouvelle-Zélande envisage de déterminer si le monstre énigmatique du lac Loch Ness, situé en Écosse, existe réellement. En utilisant des méthodes de criminalistes, il souhaite résoudre l'un des plus célèbres mystères de l'histoire en analysant des échantillons d'eau qui sont censés contenir des ADN inconnus.
Les technologies génomiques sont suffisamment avancées pour repérer d'éventuelles anomalies, explique le professeur Gemmel. « Nous pouvons comparer avec des données collectées dans des bases de données couvrant la majorité des espèces vivantes connues. S'il y a quoi que ce soit d'inhabituel dans le lac du Loch Ness, il est probable que ces outils d'ADN puissent en apporter la preuve. »
Le monstre du Loch Ness, que l'essor du tourisme a surnommé dans les années 1930 « Nessie », afin de conjurer le côté effrayant qu'il avait jusque-là, désigne une créature lacustre légendaire supposée vivre, ou avoir vécu, dans le Loch Ness, un lac d'eau douce des Highlands en Écosse. Ce fruit de l'imaginaire humain est devenu emblématique de la cryptozoologie
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