Akbarjon Djalilov aimait le sport et fréquentait des clubs d'arts martiaux à Saint-Pétersbourg: combat corps à corps, sambo, grappling… C'est là qu'il a rencontré le sportif Salam Khoudoïerzoda qui avoue aujourd'hui n'avoir jamais soupçonné que Djalilov était un adepte de l'islam radical.
« Je l'ai rencontré plusieurs fois au club de gym. Mais c'était il y a longtemps. Nous n'étions pas amis. Ensuite il a disparu. Soit il a changé de club, soit il a laissé tomber le sport. Un gars ordinaire », confie Salam Khoudoïerzoda à Sputnik.
L'attentat de Saint-Pétersbourg a également fait réagir un collègue d'Akbarjon Djalilov, Otabek Djouraïev qui travaillait avec lui dans la restauration rapide.
« Bonjour! Akbarjon Djalilov n'était pas mon ami. Nous avons travaillé dans le réseau de SushiWok (…). C'était un homme sans problèmes », a-t-il écrit sur sa page sur le réseau social Vkontakte.