« J'ai refusé de m'y rendre parce qu'il y a 15 mois j'ai demandé la désignation d'un juge d'instruction. On m'a dit non et on a attendu l'ouverture de la campagne présidentielle pour désigner ce fameux juge d'instruction. Ce genre d'instrumentalisation de la justice n'est pas admissible », explique Mme Le Pen.
« S'ils ont attendu 15 mois, ils peuvent bien attendre un mois et demi de plus, ou cinq ans… Je suis victime d'une persécution judiciaire, menée par M. [Martin] Schultz », l'ancien président du Parlement européen, poursuit-elle.
Mme Le Pen a refusé, début mars, d'être entendue par les enquêteurs dans l'affaire des assistants d'eurodéputés de son mouvement, tant qu'elle sera en « campagne électorale » et s'est dite « victime d'une opération politique ».
Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join »