« Palmyre regorge littéralement de mines et d'obus non explosés, ce qui empêche d'évaluer la situation de façonne adéquate et de restaurer ce qu'il est encore possible de restaurer », a-t-il noté. Selon lui, « la solution à ce problème, ce à quoi les sapeurs russes s'attaquent déjà, serait facilitée par la création d'une coalition internationale pour les opérations de déminage sur le territoire syrien. »
Il a aussi souligné que Palmyre était « un symbole des épreuves que le peuple martyr syrien endure ».
« Notre devoir est de porter assistance aux Syriens pour reconstruire et rendre ce mémorial au peuple de Syrie et au monde entier », a souligné M. Zagainov.
Selon lui, il faut tout d'abord effacer toutes traces de ceux, qui « ont transformé Palmyre en une arène pour mettre en valeur leur idéologie inhumaine et privée d'avenir, en un lieu d'exécutions et de crimes ».
Le 18 mars les spécialistes russes ont commencé le déminage de la partie historique de la « Perle du désert » et des quartiers résidentiels. Lors du premier jour des travaux, les démineurs ont découvert plus de 120 engins explosifs et deux dépôts de munitions. Aidés par des chiens, les sapeurs font tout leur possible pour sauvegarder l'infrastructure, y compris la partie historique.
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