Une équipe de chercheurs dirigée par Frédéric Schmidt, un scientifique français de l'université Paris-Sud XI, ont tenté d'infirmer l'hypothèse de la NASA et du Georgia Institute of Technology d'Atlanta, qui affirme la présence d'eau sous forme de ruisseaux de saumure qui coule lors des mois les plus chauds à la surface de Mars, a annoncé le journal en ligne The International Business Times.
Ils ont comparé ces lignes avec des avalanches de sable qui sont visibles sur les dunes quand il y a du vent.
D'après Frédéric Schmidt, alors que la lumière du soleil frappe Mars, les températures à sa surface augmentent tandis que celles des couches inférieures du sol restent basses. Cela change la pression dans les minuscules « poches » remplies de gaz, en le « poussant » vers le haut. Un tel processus, selon les scientifiques, provoque le glissement du sable ainsi que du sol.
Il est à noter que les astrophysiciens émettent depuis longtemps l'hypothèse confirmant que ces traînées sombres, observées pour la première fois en 2011 sur Mars, pourraient être dues à des écoulements de saumure.
Une telle découverte, selon eux, permettrait de disposer des zones d'atterrissage pour des missions humaines, car l'eau pourrait être recueillie naturellement.
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