« [Donald Trump] ne faisait l’objet d’aucune enquête pénale. C’est une collecte aléatoire et routinière d’informations… C’était une surveillance ordinaire des étrangers », a-t-il déclaré mercredi lors d’une conférence de presse, sans mentionner le pays d'origine des citoyens visés.
« Je tiens à le préciser: cette surveillance ne concernait en aucun cas ni la Russie, ni l’enquête sur les activités de la Russie, ni l’équipe de Donald Trump », a-t-il ajouté se référant à une source dont il n’a pas révélé l’identité.
M. Nunes a en outre indiqué que les écoutes en question avaient eu lieu entre le 8 novembre et le 20 janvier, soit avant l’investiture du président, et qu'elles étaient absolument légales.
Plus tôt, M. Trump avait accusé son prédécesseur, Barack Obama, d’avoir placé sur écoute son QG à la Trump Tower, à New York, où il travaillait et habitait avant son investiture. L’ex-hôte de la Maison-Blanche a rejeté ces accusations.
Suite à la déclaration de M. Nunes, le président Trump s’est dit mercredi « en quelque sorte conforté ».
Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join ».