« S'ils (les Européens, ndlr) en avaient la possibilité, les Européens rouvriraient les chambres à gaz et les camps d'extermination, mais ils ne le font pas car ils ont honte », a lancé le chef d'État turc, qui avait précédemment accusé l'Allemagne de « pratiques nazies » suite à la décision de Berlin de ne pas tenir de meetings pro-Erdogan sur le territoire du pays.
S'adressant à « à ceux qui agissent avec une main de fer dans un gant de velours », M. Erdogan a déclaré que leurs jours étaient finis. « La Turquie qui cède face à vos menaces et à votre tyrannie n'existe plus. Nous ne permettrons pas que nos citoyens soient victimes de préjudice », a-t-il promis.
« Les derniers événements auxquels nous avons assisté en Europe nous montrent que le combat contre notre pays est passé à un nouveau stade.
Ceux qui veulent nous faire du mal sont ceux qui soutiennent les terroristes et leur fournissent des armes », a déclaré le numéro un turc devant ses partisans à Istanbul.
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