Pour certains de ces joyaux, il s'agit du premier « voyage » en dehors de la France.
Suivez Sputnik sur Instagram pour ne jamais manquer les meilleurs photos et vidéos sélectionnées par la rédaction. Il suffit de cliquer sur le lien, puis sur « S'abonner ».
© Sputnik . Vitaly Beloussov / Accéder à la base multimédiaDes vitraux de la Sainte-Chapelle, un évangéliaire de Saint Louis, son testament de février 1270 ainsi qu’une série d’autres véritables trésors, dont certains ont quitté pour la première fois le sol français, seront exposés pendant trois mois au Palais du Patriarche, dans l’enceinte du Kremlin.
Sur la photo: les vitraux restaurés du XIIIe siècle à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
Sur la photo: les vitraux restaurés du XIIIe siècle à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
Des vitraux de la Sainte-Chapelle, un évangéliaire de Saint Louis, son testament de février 1270 ainsi qu’une série d’autres véritables trésors, dont certains ont quitté pour la première fois le sol français, seront exposés pendant trois mois au Palais du Patriarche, dans l’enceinte du Kremlin.
Sur la photo: les vitraux restaurés du XIIIe siècle à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
Sur la photo: les vitraux restaurés du XIIIe siècle à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
© Sputnik . Natalia KupreychenkoOrganisé avec le soutien du Centre des monuments nationaux et de l’ambassade de France en Russie, le projet inédit s’inscrit dans le cadre de l'Année franco-russe du tourisme et du patrimoine culturel et sera ouvert au public du 3 mars au 4 juin 2017.
Sur la photo: Le Président du Centre des Monuments nationaux Philippe Bélaval et la Directrice des Musées du Kremlin Mme Elena Gagarina à la présentation de l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
Sur la photo: Le Président du Centre des Monuments nationaux Philippe Bélaval et la Directrice des Musées du Kremlin Mme Elena Gagarina à la présentation de l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
2/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
Organisé avec le soutien du Centre des monuments nationaux et de l’ambassade de France en Russie, le projet inédit s’inscrit dans le cadre de l'Année franco-russe du tourisme et du patrimoine culturel et sera ouvert au public du 3 mars au 4 juin 2017.
Sur la photo: Le Président du Centre des Monuments nationaux Philippe Bélaval et la Directrice des Musées du Kremlin Mme Elena Gagarina à la présentation de l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
Sur la photo: Le Président du Centre des Monuments nationaux Philippe Bélaval et la Directrice des Musées du Kremlin Mme Elena Gagarina à la présentation de l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
© Sputnik . Natalia KupreychenkoL’objectif de l’exposition est de familiariser le public russe avec l’art gothique français ainsi qu’avec la période de règne de Saint Louis, en suscitant un intérêt pour cette page de l’histoire française. Qui sait, peut-être ces chefs-d’œuvre les encourageront-ils à aller poursuivre leur découverte, cette fois-ci en France ?
Sur la photo: Statue d’Isabelle de France (Ile-de-France, vers 1300 ; Collégiale Notre-Dame de Poissy).
Sur la photo: Statue d’Isabelle de France (Ile-de-France, vers 1300 ; Collégiale Notre-Dame de Poissy).
3/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
L’objectif de l’exposition est de familiariser le public russe avec l’art gothique français ainsi qu’avec la période de règne de Saint Louis, en suscitant un intérêt pour cette page de l’histoire française. Qui sait, peut-être ces chefs-d’œuvre les encourageront-ils à aller poursuivre leur découverte, cette fois-ci en France ?
Sur la photo: Statue d’Isabelle de France (Ile-de-France, vers 1300 ; Collégiale Notre-Dame de Poissy).
Sur la photo: Statue d’Isabelle de France (Ile-de-France, vers 1300 ; Collégiale Notre-Dame de Poissy).
© Sputnik . Natalia KupreychenkoIl s’agit d’un projet sans précédent, assure Elena Gagarina, directrice des Musée du Kremlin de Moscou. « La Russie n’a jamais accueilli un tel projet, la figure de Saint Louis n’est pas très connue au sein de notre public et il est très symbolique que ces chef d’œuvres uniques se déplacent notamment au Kremlin pour une période de trois mois », a-t-elle indiqué.
4/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
Il s’agit d’un projet sans précédent, assure Elena Gagarina, directrice des Musée du Kremlin de Moscou. « La Russie n’a jamais accueilli un tel projet, la figure de Saint Louis n’est pas très connue au sein de notre public et il est très symbolique que ces chef d’œuvres uniques se déplacent notamment au Kremlin pour une période de trois mois », a-t-elle indiqué.
© Sputnik . Natalia KupreychenkoCette exposition est un symbole du dialogue culturel très fort qui unit la France et la Russie, a fait remarquer Philippe Belaval, président du Centre des monuments nationaux. « Ces vitraux ont plus de 800 ans d’âge, ils ne sont jamais sortis de France depuis qu’ils sont fabriqués et c’est un grand honneur de pouvoir les montrer ici, ils ont été à la chapelle du roi et ils sont aujourd’hui ici au Kremlin », a-t-il ajouté.
5/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
Cette exposition est un symbole du dialogue culturel très fort qui unit la France et la Russie, a fait remarquer Philippe Belaval, président du Centre des monuments nationaux. « Ces vitraux ont plus de 800 ans d’âge, ils ne sont jamais sortis de France depuis qu’ils sont fabriqués et c’est un grand honneur de pouvoir les montrer ici, ils ont été à la chapelle du roi et ils sont aujourd’hui ici au Kremlin », a-t-il ajouté.
© Sputnik . Natalia KupreychenkoL’organisation de l’exposition a pris deux ans – étant donné l’âge des pièces, il n’a pas été facile d’obtenir rapidement le feu vert des prêteurs français qui conservent ces joyaux de l’art gothique. L’exposition contient des pièces des collections du Louvre, de la Bibliothèque Nationale, des Archives Nationales, du Musée de Cluny et d’une série d’autres musées.
Sur la photo: les vitraux restaurés du XIIIe siècle à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
Sur la photo: les vitraux restaurés du XIIIe siècle à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
6/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
L’organisation de l’exposition a pris deux ans – étant donné l’âge des pièces, il n’a pas été facile d’obtenir rapidement le feu vert des prêteurs français qui conservent ces joyaux de l’art gothique. L’exposition contient des pièces des collections du Louvre, de la Bibliothèque Nationale, des Archives Nationales, du Musée de Cluny et d’une série d’autres musées.
Sur la photo: les vitraux restaurés du XIIIe siècle à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
Sur la photo: les vitraux restaurés du XIIIe siècle à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
© Sputnik . Vitaly Beloussov / Accéder à la base multimédiaD’ailleurs, certaines pièces étant trop fragiles pour être transportées en avion ou pour changer de climat, il a été décidé de ne pas les emmener en Russie. Pour compenser cette lacune, l’Ermitage de Saint–Pétersbourg a complété l’exposition en prêtant des objets en émail et en ivoire de sa propre collection, a expliqué M. Belaval.
Sur la photo: Crosse avec un lion affrontant un serpent (Limoges, vers 1210-1220 ; Musée de l’Ermitage).
Sur la photo: Crosse avec un lion affrontant un serpent (Limoges, vers 1210-1220 ; Musée de l’Ermitage).
D’ailleurs, certaines pièces étant trop fragiles pour être transportées en avion ou pour changer de climat, il a été décidé de ne pas les emmener en Russie. Pour compenser cette lacune, l’Ermitage de Saint–Pétersbourg a complété l’exposition en prêtant des objets en émail et en ivoire de sa propre collection, a expliqué M. Belaval.
Sur la photo: Crosse avec un lion affrontant un serpent (Limoges, vers 1210-1220 ; Musée de l’Ermitage).
Sur la photo: Crosse avec un lion affrontant un serpent (Limoges, vers 1210-1220 ; Musée de l’Ermitage).
© Sputnik . Natalia KupreychenkoCette exposition ouvre ses portes au public pendant que se tient celle baptisée Icônes de l'Art Moderne. La collection Chtchoukine touche à sa fin à Paris. En évoquant la coopération culturelle entre les deux pays, M. Belaval a rappelé que tout au long de l’histoire, il y avait eu un intérêt des Français pour la Russie et vice versa, de nombreux artistes ayant visité l’autre pays. « Il y a de la matière pour un très grand développement des relations culturelles », a-t-il conclu.
Sur la photo: Reliquaire de la Couronne d’épines (1806, orfèvre Jean-Charles Cahier ; Trésor de la Cathédrale Notre-Dame de Paris).
Sur la photo: Reliquaire de la Couronne d’épines (1806, orfèvre Jean-Charles Cahier ; Trésor de la Cathédrale Notre-Dame de Paris).
8/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
Cette exposition ouvre ses portes au public pendant que se tient celle baptisée Icônes de l'Art Moderne. La collection Chtchoukine touche à sa fin à Paris. En évoquant la coopération culturelle entre les deux pays, M. Belaval a rappelé que tout au long de l’histoire, il y avait eu un intérêt des Français pour la Russie et vice versa, de nombreux artistes ayant visité l’autre pays. « Il y a de la matière pour un très grand développement des relations culturelles », a-t-il conclu.
Sur la photo: Reliquaire de la Couronne d’épines (1806, orfèvre Jean-Charles Cahier ; Trésor de la Cathédrale Notre-Dame de Paris).
Sur la photo: Reliquaire de la Couronne d’épines (1806, orfèvre Jean-Charles Cahier ; Trésor de la Cathédrale Notre-Dame de Paris).
© Sputnik . Natalia KupreychenkoSur la photo: Statue Vierge à l'Enfant à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
9/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
Sur la photo: Statue Vierge à l'Enfant à l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle au palais du Patriarche du Kremlin de Moscou.
© Sputnik . Natalia KupreychenkoSur la photo: Reliquaire en cristal soutenu par deux anges (supposément XIVe siècle)
10/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
Sur la photo: Reliquaire en cristal soutenu par deux anges (supposément XIVe siècle)
© Sputnik . Natalia KupreychenkoSur la photo: Statuette Vierge à l'Enfant (ivoire, bois, France, fin du XIIIe siècle – début du XIVe siècle).
11/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
Sur la photo: Statuette Vierge à l'Enfant (ivoire, bois, France, fin du XIIIe siècle – début du XIVe siècle).
© Sputnik . Natalia KupreychenkoSur la photo: Statue de Saint Louis (Paris, vers 1300 ; Musée national du Moyen-Âge.
Guillaume de Saint-Pathus. Vie et miracles de Saint Louis (manuscrit, 1330-1340, Bibliothèque nationale de France).
La tête d’un prophète (Reims, vers 1260 ; Musée du Louvre).
Histoire de Saint Louis, IXe du nom, roi de France, écrite par Jean de Joinville (1224?-1317).
Tête d’un roi (Ile-de-France, deuxième quart du XIIIe siècle ; Musée du Louvre)
Guillaume de Saint-Pathus. Vie et miracles de Saint Louis (manuscrit, 1330-1340, Bibliothèque nationale de France).
La tête d’un prophète (Reims, vers 1260 ; Musée du Louvre).
Histoire de Saint Louis, IXe du nom, roi de France, écrite par Jean de Joinville (1224?-1317).
Tête d’un roi (Ile-de-France, deuxième quart du XIIIe siècle ; Musée du Louvre)
12/13
© Sputnik . Natalia Kupreychenko
Sur la photo: Statue de Saint Louis (Paris, vers 1300 ; Musée national du Moyen-Âge.
Guillaume de Saint-Pathus. Vie et miracles de Saint Louis (manuscrit, 1330-1340, Bibliothèque nationale de France).
La tête d’un prophète (Reims, vers 1260 ; Musée du Louvre).
Histoire de Saint Louis, IXe du nom, roi de France, écrite par Jean de Joinville (1224?-1317).
Tête d’un roi (Ile-de-France, deuxième quart du XIIIe siècle ; Musée du Louvre)
Guillaume de Saint-Pathus. Vie et miracles de Saint Louis (manuscrit, 1330-1340, Bibliothèque nationale de France).
La tête d’un prophète (Reims, vers 1260 ; Musée du Louvre).
Histoire de Saint Louis, IXe du nom, roi de France, écrite par Jean de Joinville (1224?-1317).
Tête d’un roi (Ile-de-France, deuxième quart du XIIIe siècle ; Musée du Louvre)
© Sputnik . Vitaly Beloussov / Accéder à la base multimédiaSur la photo: Des visiteurs à la présentation de l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle.
Sur la photo: Des visiteurs à la présentation de l’exposition Saint Louis et les reliques de la Sainte-Chapelle.