La cause de cette « accélération », estiment les biologistes, s'explique par la fonction protectrice de notre organisme, qui tente de ralentir ainsi le processus de vieillissement, lit-on dans un article publié sur le site de l'Université de l'Oregon (États-Unis).
À en croire les scientifiques, les gènes en question pourraient réagir à des lésions cellulaires et moléculaires, ainsi qu'à certains processus d'oxydation dans notre organisme. Leur activation permet au contraire de ralentir ces processus favorisant le développement d'une maladie neurodégénérative.
Bien que les scientifiques aient mené leurs expériences sur des drosophiles (ou mouches du vinaigre), leurs résultats sont également valables pour les humains, les processus biologiques, responsables des rythmes circadiens étant contrôlés par les mêmes gènes chez nous et chez ces insectes.
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