« Ce test a été mené dans la continuation de notre programme défensif. Nous ne laisserons pas des étrangers interférer dans les affaires liées à notre défense », a-t-il indiqué, cité par l’agence Tasnim.
La veille de cette déclaration, le chef de la diplomatie iranienne, Mohammad-Javad Zarif, avait déclaré que « de tels tests n’étaient pas réglementés par l’accord nucléaire. Les missiles fabriqués en Iran ne seront pas employés pour attaquer un autre pays. Ils nous sont nécessaires exclusivement dans le but défensif », a alors souligné le ministre.
Téhéran n’a acheté que des S-300 à la Russie
Toujours d’après Hossein Dehghan, ces derniers temps l’Iran ne s’est pas intéressé aux armements russes, sans compter les systèmes S-300 livrés l’année passée.
Cette déclaration confirme ses propos tenus en août dernier. Alors, il avait fait savoir que l’Iran n’était pas intéressé par l’acquisition d’autres systèmes antimissiles, dont des S-400 russes, mais était plutôt pour l’achat d’avions de la société Sukhoi et ce pour « renforcer la force aérienne du pays ».
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