Selon lui, le projet créé par la chorégraphe autrichienne Christine Gaiqq « ne correspondait en fait pas du tout à notre protocole », selon lequel seule la musique classique et sacrée peut être jouée ou chantée dans l'église de Notre-Dame-de-la-Gloriette.
« Je n'ai pas à juger du contenu artistique par ce que c'est la liberté à la fois de la programmation et de la liberté de la création artistique, mais il nous appartenait de juger sur l'adéquation entre un lieu et un projet. Comme il n'y avait pas d'adéquation, nous avons souhaité que ce spectacle soit joué dans une église désaffectée pour éviter de provoquer un scandale auprès des croyants », a déclaré M. Berthout dans un entretien avec Sputnik.
« L'artiste qui a créé ce spectacle s'inspire totalement de la philosophie politique et artistique des Pussy Riot. Donc, c'est pour cela que ça posait également problème par rapport à l'affectation cultuelle de l'église », explique l'interlocuteur de l'agence.
Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join »