« L’idée qui ressort du point que nous avons fait avec l'administration américaine est, comme je l'ai dit tout à l'heure… que ça serait une folie pour nous de diaboliser la Russie ou de l’acculer dos au mur », a déclaré Boris Johnson devant les législateurs américains.
Plus tôt, dimanche, M. Johnson a rencontré à New York les principaux membres du cabinet du président élu des États-Unis, Donald Trump.
Rappelons que le chef de la diplomatie britannique Boris Johnson, qui avait affirmé juste avant les résultats de la présidentielle américaine qu'il ne rencontrerait pour rien au monde Donald Trump, a déclaré le lendemain que la Grande-Bretagne et les États-Unis « resteraient toujours des partenaires solides et proches ». Et voilà qu’il propose soudainement d’arrêter de diaboliser la Russie…