« Ils sont en train de tenter de priver de légitimité l’administration de Trump, qui occupera bientôt la Maison Blanche », a déclaré M. Assange dans une interview à Fox News.
Le fondateur de WikiLeaks a également rejeté les accusations selon lesquelles son organisation avait coopéré avec la Russie ou avec un autre État pour pirater les courriels du parti démocrate et de l’ex-candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton.
« Notre source n’était pas un État, et donc la réponse à la question de savoir si avons coopéré avec le gouvernement russe est "non" », a-t-il martelé.
Auparavant, le président élu des États-Unis a mis en doute les accusations de l’administration sortante à propos d’attaques cybernétiques prétendument commises par Moscou.
En octobre, les services spéciaux américains ont ouvertement accusé Moscou de tentatives d’influencer le cours des élections, reconnaissant néanmoins que les hackers n’étaient pas parvenus à accéder aux systèmes électoraux américains.
Par la suite, la Maison Blanche a reconnu ne pas avoir détecté d’attaques de hackers le jour de l’élection.
Les dirigeants russes, ainsi que le président élu des États-Unis Donald Trump ont rejeté ces allégations, l’homme d’affaire américain les ayant qualifiées d’absurdes.
Suite à ces accusations, un représentant de WikiLeaks et ancien ambassadeur britannique en Ouzbékistan, Craig Murray, a confirmé avoir reçu les documents compromettant Hillary Clinton de la part d’un démocrate dégoûté par l’activité du parti.
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