M. Spangenberg a en outre accusé Uber de discrimination fondée sur l'âge: quand Uber l'a embauché afin d'assurer la sécurité intérieure de l'entreprise et de réagir rapidement aux problèmes extérieurs, M. Spangenberg avait déjà 45 ans. 11 mois plus tard, il était licencié pour avoir critiqué « les méthodes de travail illicites auxquelles recourt l'entreprise ».
À l'en croire, Uber serait capable de localiser n'importe quel utilisateur en cas de nécessité à l'aide d'un système de surveillance intérieur. Le statut du passager ne jouerait en l'occurrence aucun rôle, pour peu qu'il ait téléchargé son application mobile. À titre d'exemple, l'entreprise aurait suivi les déplacements de la chanteuse américaine Beyoncé. Du moins, c'est qu'estime M. Spangenberg.
Uber, start-up californienne qui s'est fait une notoriété mondiale en quelques années, met en relation des personnes cherchant à se déplacer en ville avec des chauffeurs qu'il n'emploie pas. Le client paie Uber, qui à son tour rémunère le chauffeur.
Le service, concurrent du secteur traditionnel des taxis qui est encadré par une réglementation stricte dans de nombreux pays, a connu divers déboires juridiques qui ont compliqué son expansion.
Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join »