Répondant aux journalistes japonais désireux de savoir si Pékin était réellement le partenaire numéro un de Moscou, le président russe a constaté : « C'est justement le cas ».
Comme l'a fait remarquer Vladimir Poutine, la Russie avait le plus grand volume d'échanges avec la Chine, mais aussi de nombreux projets communs dans tout un éventail de domaines : le nucléaire, la logistique, la machinerie, l'aviation et même l'espace. Dans cette dernière sphère, les deux pays « ont de bonnes perspectives », a observé le président russe.
Les liens entre Moscou et Pékin ne se limitent pourtant pas à l'économie. « Nous avons également un remarquable niveau de confiance politique. Nos positions concernant les principaux problèmes internationaux sont proches. Nous partageons souvent la même position sur les problèmes-clés portés à l'ordre du jour international », a expliqué M. Poutine.
« J'ai un grand plaisir à constater le caractère véritablement amical des relations que nous avons établies avec la Chine », a noté le président russe. Avant de conclure : « Sans aucune exagération, les relations que nous avons dans de nombreux domaines-clés revêtent un caractère stratégique ».
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