Compte tenu de la situation actuelle en Irlande du Nord, les responsables politiques des deux pays sont tenus de négocier un accord bilatéral, qui pourrait être par la suite ratifié comme une partie d'un accord sur le Brexit entre le Royaume-Uni et l'Union européenne, a précisé la source.
En cas d'échec ou de sous-estimation de la portée de l'événement, poursuit-elle, les efforts de tous ceux qui ont « travaillé d'arrache-pied pour la paix » seront dangereusement remis en cause.
Bien que la Grande-Bretagne et l'Irlande cherchent désespérément à ne pas rétablir de frontières gardées, poursuit Lord Boswell, le fait que l'Irlande demeure au sein de l'UE après que le Brexit deviendra réalité pourrait porter de nouveau à l'ordre du jour la question des frontières ouvertes, qui devrait être réglée en l'occurrence avec le concours de la communauté européenne.
Concernant l'« accord post-Brexit » entre les deux pays, le président du comité a souligné qu'il devait protéger « la nature unique des relations entre le Royaume-Uni et l'Irlande », d'un côté, et « entre l'Ireland du Sud et l'Irlande du Nord » de l'autre.
Au total, 448 députés se sont prononcés pour, et 75 contre la motion non contraignante débattue mercredi après-midi. Selon ce texte, Theresa May accepte de dévoiler ses intentions quant au Brexit, à la condition que le parlement appelle « le gouvernement à invoquer d'ici le 31 mars 2017 l'article 50 » du traité de Lisbonne, préalable au lancement de la procédure de divorce avec l'UE.
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