Lorsque le brouillard s'est enfin retiré, les gens ont commencé à mourir par centaines… Au moins 12 000 personnes sont mortes en l'espace de quelques jours et plus de 150 000 ont été hospitalisées dans la foulée.
Soixante ans après la tragédie, entrée dans l'histoire sous le nom de Grand Smog de Londres, les scientifiques britanniques ont percé le mystère de la brume mortelle grâce à leurs collègues chinois.
On a longtemps pensé que cette catastrophe avait été provoquée par des émissions de CO (oxyde de charbon), qui ont pénétré dans l'atmosphère et que les Londoniens ont pris par erreur pour une brume ordinaire. Cependant, il semble que ce gaz néfaste n'y était pour rien. Du moins, c'est ce qu'estiment les scientifiques britanniques après avoir minutieusement étudié des échantillons d'air pollué en provenance de deux villes chinoises, Pékin et Xi'an, écrit le site Science Alert.
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