Pourtant, elle fait preuve d’une brillante mémoire quand il s’agit des déplacements de la candidate démocrate à la présidentielle… Et curieusement, c’est son voyage à Moscou qui soulève le plus de questions.
« Mme Abedin a déclaré qu'ils utilisaient des ordinateurs mis en place et contrôlés par l'équipe des communications mobiles pour accéder à leurs DoS et à des comptes emails personnels quand ils étaient en Russie », constate le rapport du FBI.
Mais bien sûr! La Russie est le seul pays où la candidate à la présidence s’est connectée à son compte personnel et a utilisé son portable!
La candidate démocrate elle-même a plusieurs fois déclaré que ses documents bénéficieraient à Moscou, et que la main du Kremlin serait derrière les révélations. Or, le lanceur d'alertes Julian Assange affirme que le Kremlin n'avait rien à voir là-dedans.
Et ça ne fait rien si un ami proche du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a déjà déclaré que la fuite des courriels de John Podesta aurait été organisée par des milieux officiels de Washington. Ni que Julian Assange ait confirmé pour la énième fois que les fuites de la correspondance d'Hillary Clinton et de son directeur de campagne n’avaient aucun rapport avec la Russie, c’est toujours tellement plus pratique de rejeter la faute sur Moscou pour détourner l’attention. Tous les moyens sont bons (surtout ceux déjà testés et approuvés) à moins d’une semaine de l’élection présidentielle américaine…