Edmund Schaaf, maire de la ville allemande où la famille de réfugiés a déménagé, a raconté que cette famille était divisée en quatre « groupes de nécessiteux ». Les quatre femmes de ce réfugié habitent séparément, chacune avec ses enfants (deux aux alentours de Montabaur, deux à proximité de Koblenz).
« Après, selon la législation allemande, un réfugié est obligé d'accepter le travail qu'on lui propose, sinon on réduit son allocation », a expliqué M. Schaaf.
Le montant des allocations versée à chaque réfugié est confidentiel, mais on peut trouver des chiffres approximatifs sur Internet. Par exemple, sur le site HartzlV.org, on voit une somme approximative de 364 euros et les besoins des enfants de 6-14 ans s'élèvent à environ 270 euros par mois.
Selon la loi de l'assistance aux réfugiés, le chef du « groupe des nécessiteux » est censé obtenir une somme plus importante alors que des adultes et des enfants reçoivent une aide conformément à leur âge, estime M. Schaaf. En ce qui concerne l'aide de 30 000 euros par mois, il la dément :
« Cela concerne tous les réfugiés, où qu'ils aient habité avant leur déménagement en Allemagne — tous ensemble comme une seule famille ou non. Chaque enfant et chaque personne sont censés avoir un montant correspondant. Le chiffre mentionné, à mon avis, est irréaliste et on peut l'identifier grâce à n'importe quelle vérification. Ce chiffre est fantaisiste ».
Aujourd'hui, d'après le maire, tous les enfants sont scolarisés et il n'y a plus de problèmes de ce côté-là.
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