Pour justifier sa déclaration, M. Poutine a noté les crimes graves commis par des migrants arrivés en Europe du Proche-Orient et de l'Afrique. En particulier, il a rappelé le cas de viol d'un petit garçon en Autriche par l'un des migrants dont la condamnation a été finalement annulée.
« Une société qui n'a aucune possibilité de protéger ses enfants aujourd'hui n'a pas d'avenir », a déclaré M. Poutine.
En outre, le chef de l'État a suggéré que ce qui se passe maintenant dans l'Union Européenne est le résultat de la « culpabilité devant ces migrants » et de l'« érosion des valeurs traditionnelles nationales ». « Il est même difficile d'imaginer ce qu'ils font là-bas » a souligné le président russe.
En avril, un réfugié irakien, qui a été accusé d'avoir violé un garçon de 10 ans à Vienne, a plaidé coupable. Toutefois, le verdict a été partiellement annulé à cause d'informations incomplètes sur l'incident.
« Le tribunal l'a acquitté pour deux raisons: il ne parle pas la langue du pays et n'a pas compris que le garçon ne voulait pas (d'être violé, ndlr) », a rappelé Vladimir Poutine.
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