Une personne a trouvé la mort et au moins 30 autres ont été blessées dimanche suite à l'attaque chimique menée par des extrémistes dans le sud-ouest d'Alep, a annoncé la chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen.
Plus tôt dans la journée de dimanche, on a appris que des extrémistes avaient tiré des projectiles contenant du gaz toxique sur les positions des milices pro-gouvernementales et sur les militaires syriens déployés dans la région de l'Académie militaire d'Assad.
[#URGENT] Les extrémistes ont recours à des armes chimiques à #Alep https://t.co/lWz4MkVBUK #Syrie pic.twitter.com/UEX34CcFju
— Sputnik France (@sputnik_fr) 30 октября 2016 г.
Selon les données des renseignements militaires, les extrémistes ont profité de la trêve humanitaire qui a eu lieu du 20 au 22 octobre pour envoyer plus de 8 000 combattants dans la région de Khan Touman (sud) et de Kafr Hamra (nord). Les terroristes essaient de percer le blocus à l'est d'Alep, où restent bloqués leurs complices. S'ils s'emparent de l'académie, toute la partie occidentale de la ville se retrouvera sous leur feu.