Dans une de ces déclarations, le candidat républicain à l'élection présidentielle américaine Donald Trump a indiqué que Londres avait des soi-disant « no go zones », des quartiers que la police préfère éviter. Ces propos ont été désapprouvés par l'ex-maire de la capitale britannique Boris Johnson, le maire actuel Sadiq Khan et l'ex-premier ministre britannique David Cameron.
Cependant, cette bataille judiciaire a été perdue par Kamram Malik et son organisation, le Parti uni des communautés (Communities United Party).
« C'est dégoûtant. J'ai dépensé beaucoup d'argent et donné beaucoup de mon temps pour être tout simplement débouté par la juge. Je pense faire appel de la décision. Ses propos ont vraiment visé et insulté les gens, c'est pourquoi j'ai voulu que justice soit faite via la cour », explique Kamram Malik dans son commentaire pour Sputnik.
Le plaideur indique que dans la partie de Londres où il habite, près de 45 % de la population est musulmane et qu'elle a été fortement touchée par les propos de Donald Trump. Ainsi, la décision de la cour qui a rejeté la plainte est profondément décevante de ce point de vue.
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