« Nous avons fait comprendre, sur la situation en Syrie, que le président pouvait utiliser un certain nombre de possibilités d'isoler le régime (de Bachar el-Assad, ndlr) et, éventuellement, les Russes pour la façon dont ils soutiennent le régime. Les sanctions font partie de ces outils », a déclaré M. Earnest.
Selon lui, ces dernières années de mise en œuvre des sanctions, Washington a appris que leur effet était plus grand quand il coordonnait l'utilisation de cet outil avec ses partenaires et ses alliés dans le monde.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré jeudi dernier que Washington était sur le point de suspendre les discussions avec Moscou sur le règlement en Syrie. Moscou, pour sa part, en regrettant le « caractère assez peu constructif » de la rhétorique américaine, se dit toujours intéressé par son partenariat avec Washington sur la Syrie.