Trois femmes radicalisées, âgées de 39, 23 et 19 ans, ayant un lien avec l'affaire de la voiture contenant des bonbonnes de gaz découverte le week-end dernier au cœur du Paris et qui préparaient "de nouvelles actions violentes et imminentes", selon les autorités, ont été interpellées jeudi soir au sud de la capitale.
Bonbonnes de gaz. La principale suspecte avait prêté allégeance à l'EI @ouestfrance https://t.co/whvduAiOMj pic.twitter.com/hEBvEwcP31
— Michel Urvoy (@MichelUrvoy) 9 сентября 2016 г.
En procédant à la fouille des femmes, les policiers ont découvert qu'elles étaient toutes armées d'un couteau.
Un message d'alerte sur un risque d'attentat dans les gares parisiennes et en Essonne avait été envoyé dans la journée aux policiers, a souligné une source policière, qui estimait que le réseau terroriste préparait un attentat pour jeudi.
#Actu Trois femmes arrêtées en Essonne dans l'enquête sur la voiture aux bonbonnes de gaz https://t.co/pDVDT7NicJ pic.twitter.com/dBdMnxyEZ6
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Lors de l'opération pour interpeller les trois femmes, menée vers 19h00 à Boussy-Saint-Antoine (département de l'Essonne), à 25 km au sud-est de Paris à Boussy-Saint-Antoine (Essonne), "un policier a été blessé d'un coup de couteau à l'épaule" par l'une des trois femmes, qui a été blessée aux jambes par balle par un tir de riposte.
Ces interpellations s'ajoutent aux 260 interpellations d'individus en lien avec des réseaux terroristes intervenues depuis début 2016.