Selon l'étude effectuée par les spécialistes des Universités de Harvard et du Vermont et rendue publique sur le site arxiv.org, la couleur et la saturation des images partagées sur Instagram peuvent révéler la dépression de leurs auteurs.
Les participants de la recherche lancée par les scientifiques ont répondu aux questions sur leurs données personnelles, sur l'utilisation des réseaux sociaux et sur la présence d'une maladie psychique décelée par un médecin. Ensuite, un programme spécial a étudié leurs photos.
Les spécialistes indiquent que la présence de la dépression peut être élucidée plus rapidement via l'étude des réseaux sociaux que par un diagnostic standardisé. Dans le même temps, ils soulignent que leur méthode n'aide pas à choisir le traitement approprié, mais dévoile seulement les premiers symptômes.