La société les a privées d'antenne pendant un mois. La décision de l'administration a provoqué la colère aussi bien des présentatrices que des défenseurs des droits de l'homme. Une défenseuse des droits de l'homme a déclaré que cette mesure viole la constitution du pays et représente un acte de violence contre les femmes.
L'initiative a suscité des débats sur les réseaux sociaux. Si certains estiment que cette mesure est justifiée et proposent de l'appliquer à l’ensemble de la télévision, d’autres exhortent l'ERTU de s'intéresser à la qualité des émissions, et non pas à l'apparence des présentatrices.
Malgré la polémique vive, des sources au sein de l'ERTU ont annoncé que la chaîne n'envisageait pas de réviser sa décision. Elles ont précisé que la chaîne paierait les présentatrices pendant leur suspension.