Le pontife argentin a régulièrement dénoncé le trafic d'êtres humains derrière une grande partie de la prostitution comme un "crime contre l'humanité".
Selon un communiqué du Vatican, le groupe était composé de sept Nigérianes, six Roumaines, quatre Albanaises, une Tunisienne, une Ukrainienne et une Italienne, âgées d'une trentaine d'années en moyenne.
Dans la confession, nous rencontrons l’étreinte miséricordieuse du père. Son amour nous pardonne toujours.
— Pape François (@Pontifex_fr) 12 августа 2016 г.
Rescapées des réseaux de traite des femmes après avoir "toutes subi de graves violences physiques et avoir été placées sous protection", elles sont aujourd'hui hébergées par une association catholique dans un appartement dans le nord de la capitale italienne, selon le communiqué.
Cette visite s'inscrit dans le cadre du "vendredi de la miséricorde", par lequel le pape entend mener chaque mois une visite privée solidaire, pendant la durée du Jubilé de la miséricorde.
Il est ainsi allé à la rencontre de toxicomanes, de vieux prêtres, de réfugiés, de personnes souffrant de maladies mentales, de personnes en état végétatif, le plus souvent à Rome ou dans les environs.
En juillet, il avait dédié son "vendredi de la miséricorde" aux enfants d'un hôpital de Cracovie, après avoir prié à l'ancien camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau.