Selon lui, le premier pas est le filtre des fédérations internationales, qui peuvent approuver les tests internationaux de chacun des athlètes. Le deuxième filtre est le fait que le Comité olympique russe ne pourra pas rajouter de sportifs qui ont déjà été pris en défaut de violation des règles antidopage. Le troisième filtre est la décision même du CIO basée sur les jugements des experts indépendants et du Tribunal arbitral du sport (TAS).
"Nous sommes déjà à la troisième étape où la commission exécutive a décidé hier de déléguer ce droit à un panel de trois personnes, membres du comité exécutif, dirigé par le chef de la commission médicale du CIO", a conclu M.Bach.
Ces trois personnes sont Juan Antonio Samaranch junior, Uğur Erdener et Claudia Bokel, elles devront prendre la décision définitive sur le sort des sportifs russes vers le 5 août, le jour du début des compétitions à Rio.
Cependant, M.Bach a souligné que le CIO n'était pas responsable ni pour les délais, ni pour les causes de la situation dans laquelle se trouvent les sportifs russes.