Dans son discours d'acceptation de l'investiture du parti, jeudi 21 juillet, il a réitéré ses principales promesses de campagne: construire un mur à la frontière mexicaine, modifier les accords défavorables pour les États-Unis dans le domaine de l'économie et de la sécurité internationales, se concentrer sur les affaires intérieures du pays et non sur les questions globales. Par contre, il n'a pas mentionné la Russie.
Trump a accordé beaucoup d'attention à la situation économique dans le pays et dans le monde. Rappelant sa fortune, il a fait part de son intention de changer les conditions de plusieurs accords commerciaux internationaux défavorables pour les USA. Selon lui, l'ex-président Bill Clinton et sa rivale actuelle Hillary Clinton "sont responsables de la réduction d'un tiers des emplois dans le secteur industriel américain depuis 1997". Il accuse également le président sortant Barak Obama "d'avoir laissé grimper la dette nationale des USA jusqu'à 19 000 milliards de dollars".
Trump continue de promouvoir l'idée de construire un mur entre les États-Unis et le Mexique. Cette action, couplée à une législation migratoire intransigeante, permettrait selon lui de "prévenir la migration clandestine, de stopper les bandes et les violences, ainsi que l'affluence de drogues aux USA". Selon lui, il faut arrêter l'immigration en provenance des pays à forte activité terroriste en attendant l'apparition de "mécanismes de vérification fiables" des personnes entrantes.
Le milliardaire a conclu en remerciant ses partisans et en promettant de redonner "force, fierté, sécurité et grandeur" à l'Amérique.
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