Mark Toner, le porte-parole du département d'Etat américain, a déclaré aux journalistes que Washington arrêterait de soutenir un des groupes d'opposition en Syrie, si ses militants avaient vraiment décapité un enfant.
Le gouvernement des Etats-Unis cherche néanmoins à obtenir "plus d'informations" sur l'incident, a souligné le porte-parole du département d'Etat américain.
Le diplomate a en outre raconté que l'Armée syrienne libre "avait créé une commission pour enquêter sur l'incident" et avait arrêté les personnes qui auraient été impliquées dans le massacre du mineur.
Une vidéo montrant des membres du groupe Harakat Nour al-Din en train de décapiter un enfant a été diffusée récemment sur Internet. Les extrémistes ont expliqué que le petit avait combattu aux côtés des forces syriennes pro-gouvernementales.