"Les preuves rassemblées par le FBI lors de son enquête sur l'utilisation par la secrétaire d'Etat Clinton d'un système de messagerie électronique personnel semblent être en contradiction directe avec plusieurs aspects de son témoignage sous serment" au Congrès, déclarent Jason Chaffetz, président de la commission "Oversight and Government Reform" de la Chambre, et Bob Goodlatte, président de la Commission judiciaire de la Chambre, dans une lettre au procureur Channing Phillips.
Cette recommandation a été acceptée par la ministre de la justice et procureur général Loretta Lynch.
Dans ses conclusions, le FBI estime toutefois que l'ex-secrétaire d'Etat a fait preuve d'une "extrême négligence" avec des courriels qui contenaient des informations secrètes.
Hillary Clinton a répondu qu'elle ne pensait pas être en possession d'informations confidentielles quand elle utilisait sa messagerie personnelle.