"Nous sommes favoris sur le papier, mais il faut respecter" le Portugal, a expliqué le premier ministre sur France Info. "Il y aura forcément de la tension, avec l'envie de connaître le bonheur" d'une nouvelle victoire après les Euros 1984 et 2000 et la Coupe du monde 1998, a-t-il ajouté.
"Je me dis que jamais deux sans trois, chez nous on est presque invincible", a fait valoir M. Valls, même si, a-t-il souligné, "je crois que ça peut-être un match très difficile". "Il ne faut surtout pas sous-estimer les Portugais qui n'ont pas été très spectaculaires, parfois poussifs", mais se sont néanmoins qualifiés pour la finale.
👊👊👊 #FiersdetreBleus #FRAPOR #Euro2016 pic.twitter.com/yRwCai8xJh
— Equipe de France (@equipedefrance) 10 июля 2016 г.
En fin d'après-midi sur RTL, le premier ministre a assuré qu'en cas de victoire des Bleus, "demain, nous trouverons les moyens pour que le peuple de Paris, les supporters puissent leur rendre hommage comme il se doit".
Anne Hidalgo, maire PS de Paris, avait indiqué dans la matinée, selon l'AFP, qu'il y avait "un travail autour de l'hypothèse" d'une parade sur l'avenue Foch en cas de victoire. Contrairement à 1998, la possibilité d'une parade sur les Champs-Elysées a été écartée parce que, a-t-elle expliqué, l'avenue est prête "pour le défilé (du 14 juillet) et l'arrivée du Tour de France", si bien que "le préfet de police a jugé que ce n'était pas l'endroit le plus sécurisé" pour que les joueurs défilent en cas de victoire contre le Portugal.