Début juin 2016, il a été reconnu coupable et condamné à cinq ans de prison. Le SAPO a alors demandé au Conseil d'inspection des données, un organisme du ministère suédois de la Justice, d'examiner la question de l'enregistrement des personnes pour veiller à ce que l'exigence ne soit pas contraire à la loi sur la protection des données personnelles.
Le Conseil a conclu que l'expression de sympathie et d'empathie pour des organisations comme Daech ou l'assentiment de leurs activités ne pouvait pas être qualifié d'information confidentielle.
Le SAPO espère que l'enregistrement de telles personnes permettra de surveiller les jeunes qui prêtent serment d'allégeance aux terroristes et qui perpétuent des attentats non seulement au Proche-Orient mais aussi en Europe.