Dans la suite j’insisterai sur le fait que les principes du bien et du mal sont innés.
La morale peut être définie comme un ensemble de règles qu'une société (humaine) se donne pour orienter son action vers le bien. Ou alors plus simplement la science du bien et du mal. Selon plusieurs théories, notamment Le Bonettisme les principes du bien et du mal sont innées (on en reparlera).
La fin du monde est un sujet qui a toujours fasciné l'humanité pour plusieurs raisons. Ces prétendues fin du monde ont été le plus souvent prédites aux USA (bizarrement), et Wikipédia nous donne une liste de prédictions de la fin du monde (que je trouve non exhaustive).
Lorsqu’une rumeur de fin du monde fait irruption et sévit, même faux soit-elle (comme il s’est d’ailleurs mainte fois avéré), il y a lieu de se poser un certain nombre de questions dont les principales sont :
- Et si c’était vrai ?
- Est-ce que le monde s’arrête à ce que nous voyons, sentons(…) ? (nos sens ne nous trompent-ils pas vraiment ?)
- Qu’entendent les gens par fin du monde ?
Personnellement j'ai toujours pensé que l'être humain ne peut percevoir tout ce qui existe, et donc ne peut réduire l'univers, la vie, le monde à ses sens.
Scientifiques, mayaistes, religieux, sectaires et autres prédisent la fin du monde. Il faut que nous soyons assez clair et que sachons (ou même expliquons) nettement ce que les uns et les autres entendent par « fin du monde » : fin des temps, fin de l’univers, fin de la vie, fin de la race humaine ou tout simplement, on peut remplacer ‘’fin’’ par ‘’changement’’ (la nature ayant horreur du vide). Quelle a eu lieu ou pas et de quelque façon que ce soit, laissons le soin à chacun de s’en interroger. Cependant, la préoccupation qui devrait être la nôtre aujourd’hui est la suivante : ou serions-nous actuellement si les prédictions de « fin du monde » avaient été vraies et si elle (la fin du monde) maintenant, serions-nous heureux d’avoir vécu et fier d’avoir fait ce que nous pensions bon d’un point de vue personnel et universel? Trop de « fin du monde », trop d’interrogation. C’est en fait la posture que chaque Homme (dans le sens physique et spirituel du terme) doit avoir aujourd’hui.
En supposant qu’il n’y a pas eu de fin du monde comme cela semble l’apercevoir, c’est désormais l’occasion pour ceux qui devraient être frappés d'entrer dans une profonde réflexion, de commencer, d’opérer un changement de mentalité intense de ne pas s’en plaindre si la fin des temps existait et arrivait ou même de se préparer à l’éternité s’il en existait une. Nous devons désormais penser et agir dans le but de satisfaire spirituellement et physiquement tout être avec qui nous partageons notre univers, notre planète, notre espèce (humaine), notre vie (famille, amis, collèges…) bref avec tout. Nous devons devenir et rester positif, donc il me semble presque inutile d’énumérer ce que telle ou telle personne doit faire ou devrait faire en ce sens que les principes du Bien et du Mal sont innés. Toutefois, il faut distinguer ce qui est : indispensable et nécessaire, nécessaire et utile, utile et volontaire. La hiérarchisation de nos besoins sera ainsi plus que primordiale pour chacun et par récurrence pour l’humanité car l’humanité (en temps normal) heureux qu’un de lui soit heureux.
Gardons-nous donc de toujours attendre que notre supérieur, notre proche fasse le premier pas pour que nous le suivons, sachons prendre nos responsabilité au moment propice. De même, ce n’est pas parce qu’un comportement bizarre (mauvais) semble généraliser dans une société que même le peu de personnes conscients du caractère (mauvais) de cet acte qu’ils doivent s’en habituer. Une guerre est d’abord perdue dès lors ou un camp perd la confiance. D’ailleurs, le monde n’a pas toujours été comme maintenant, le mal a dû batailler courageusement, avec persévérance et détermination pour dominer, il est donc temps que le Bien en fasse de même pour anéantir le mal et tout d’abord d’établir une certaine équilibre.
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.