La poignée de main la plus faible, poursuivent-ils, est typique des représentants de la génération Y, autrement dit tous ceux qui sont nés après 1980.
Pour donner du poids à leur hypothèse, les médecins ont effectué une série de tests auxquels ont pris part 237 volontaires dont l'âge variait entre 20 et 34 ans.
Au cours des tests, les scientifiques ont mesuré la vigueur de la poignée de main des volontaires à l'aide de dynamomètres (dispositifs qui permettent de l'évoluer quantitativement, ndlr). Le moins qu'on puisse dire, c'est que les résultats obtenus sont peu encourageants.
Ainsi, la vigueur de la poignée de main a baissé de 20% parmi les hommes et de 10% parmi les femmes. Le côté positif de cette tendance, rassurent toutefois les médecins, est que les personnes qui ont des traumatismes de la main se sentent en l'occurrence plus à l'aise et risquent moins de se faire du mal.
Les scientifiques ont publié les résultats de leur recherche dans la revue Journal of Hand Therapy.