Pour Charles Henri Gallois, responsable national du groupe de travail sur les questions économiques à l'UPR, en ce qui concerne les britanniques, le Brexit ne changera rien aux négociations autour du TAFTA:
Et si pour lui: « Le fait que le Royaume-Uni sorte de l'Union, ne remettra pas en cause le TAFTA. », de l'autre côté de la manche en revanche:
« D'un point de vue français, la seule chose qui remettrait en cause le TAFTA, c'est que justement la France sorte de l'Union Européenne ».
Et le secrétaire national du parti de gauche en charge des questions internationales et de défense. — très critique des accords de libre échange de type TAFTA — va plus loin encore, d'après Djordje Kuzmanovic la sortie de l'Europe du Royaume uni pourrait même accélérer le processus.
"Il y a fort à parier qu'il y aura plutôt une tentative d'accélération pour faire signer ce traité, hors de la décision populaire évidemment".
Djordje Kuzmanovic se dit pourtant satisfait d'une telle issue:
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