Le quotidien américain New York Times, se référant aux Panama Papers, a réussi à dénombrer au moins 2.800 sociétés offshore aux îles Vierges britanniques, aux Seychelles et au Panama qui avaient été enregistrées par des Américains.
Des experts en matière de droit fiscal ont expliqué au journal que les clients de Mossack Fonseca provenant des Etats-Unis ont utilisé des opérations de vente de biens immobiliers pour redistribuer des actifs d'entreprise.
Récemment, le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) a publié environ 11 millions de documents qui auraient révélé les liens de plus de 140 politiciens de 50 pays avec des opérations louches de fraudes fiscales au Panama. Ces documents, regroupés sous la dénomination Panama Papers, proviennent du cabinet d'avocats panaméen Mossack Fonseca.