Il s'agit en fait des empreintes digitales et des profils génétiques de plus de 800 terroristes présumés, ce qui constitue un dixième de toutes les données stockées dans la base.
Les informations supprimées jouaient un rôle clé dans les enquêtes, rappelle le journal.
La cause de cette bavure administrative reste à préciser. Il est probable que les fichiers ont été supprimés suite à un traitement incorrect des données stockées.
La perte de ces données, souligne le quotidien, est survenue à un moment inopportun, le Royaume-Uni étant plus que jamais confronté à la menace terroriste.