Les scientifiques de l'université belge de Namur et leurs collègues de l'université de Grenoble ont uni leurs efforts pour percer le mystère des univers parallèles et confirmer ou démentir leur existence.
Pour ce faire, ils ont utilisé le modèle proposé par le physicien belge Michaël Sarrazin. En 2010, le chercheur a supposé que conformément aux lois de la mécanique quantique, les particules d'un univers peuvent être transportées dans des univers voisins. Cette interaction prouvant, selon lui, l'existence d'univers parallèles au nôtre.
Afin de vérifier cette théorie, les scientifiques ont créé un appareil extrêmement sensible aux atomes d'hélium-3 et l'ont installé à proximité du réacteur nucléaire de l'institut Laue-Langevin à Grenoble.
Après cinq jours d'observations attentives, les physiciens ont dû constater que leur hypothèse n'était malheureusement pas vérifiée.
L'échec n'a cependant pas calmé les ardeurs des spécialistes. Ces derniers sont bien déterminés à poursuivre les tests et à observer le détecteur d'hélium-3 pendant un an afin de vérifier certaines théories en dehors du modèle standardisé de la physique des particules élémentaires. Les résultats de la recherche sont publiés dans la revue Physics Letters B.
L'échec n'a cependant pas calmé les ardeurs des spécialistes. Ces derniers sont bien déterminés à poursuivre les tests et à observer le détecteur d'hélium-3 pendant un an afin de vérifier certaines théories en dehors du modèle standardisé de la physique des particules élémentaires. Les résultats de la recherche sont publiés dans la revue Physics Letters B.