Entre 5 et 15 ans, la jeune femme a été violée, suite à quoi elle a souffert d'anorexie et de dépression chronique, ainsi que d'hallucinations. En 2014, les médecins ont constaté une amélioration de son état, mais un an plus tard il s'est dégradé. Des experts ont reconnu que cette personne victime de violences ne pourrait pas guérir. Un collège de médecins a décidé de satisfaire la demande de la jeune femme, qui a été euthanasiée par injection létale.
Les médecins soulignent que, au moment où elle a déposé sa demande d'euthanasie, la jeune femme était complètement responsable, selon les médias.
Selon Nicky Kenward, expert cité par The Independent, qui s'occupe de la défense des droits des personnes handicapées, "il est à la fois affreux et alarmant que des psychiatres considèrent l'euthanasie comme une réponse aux lésions psychologiques profondes causées par la violence sexuelle".
En 2015, une Belge aux tendances suicidaires prénommée Laura, âgée de 24 ans, a obtenu le droit d'être euthanasiée malgré le fait qu'elle était en parfaite santé physique. Avant de mourir, elle a simplement déclaré: "Vivre, ce n'est pas mon truc".