Les grands criminels, terroristes ou tueurs d'enfants ont tous besoin d'avocats, mais la personne qui assume ce rôle peut souvent provoquer l'incompréhension, le dégoût et même la violence.
"Bien sûr qu'il y a des gens qui ne comprennent pas la mission qui est la mienne aujourd'hui, mais nous sommes dans une démocratie et Salah Abdeslam est un homme, il a besoin de dire les choses. La justice se rend quand on comprend les choses, sinon il n'y a pas de sens aux procès, pas d'utilité pour les victimes", a fait valoir Frank Berton.