"Nous constatons que l'Arabie saoudite, la Turquie et le Qatar ainsi que des pays occidentaux comme la Grande-Bretagne et la France n'ont aucune envie de promouvoir le règlement politique en Syrie. Au contraire, ils contribuent à l'escalade de l'activité terroriste", a déclaré M.al-Halki aux agences russes.
Selon lui, plus de 5.000 djihadistes ont franchi la semaine dernière la frontière turque et ont pénétré dans les provinces syriennes d'Alep et d'Idlib.
Le premier ministre s'est cependant félicité de leur échec survenu grâce aux efforts de l'armée, de la population et des dirigeants syriens avec le président el-Assad à leur tête, ainsi que des amis de la Syrie, à savoir la Russie et son président Vladimir Poutine.
"Notre résistance organisée a évité à la Syrie de sortir perdante. Nous luttons contre le terrorisme international partout en Syrie. Cela concerne au premier chef le Front al-Nosra et le groupe Etat islamique", a dit M.al-Halki.