Ils sont désormais onze à briguer l'investiture de leur camp, en comptant les anciens Premiers ministres Alain Juppé et François Fillon ou l'ex-ministre Bruno Le Maire, mais pas Nicolas Sarkozy, lequel n'a pas encore dévoilé ses intentions.
"Mon objectif est de faire prendre en compte dans le débat le rétablissement de la souveraineté de la France", écrit Jacques Myard dans un communiqué.
"La France n'a plus la maîtrise de ses décisions, elle n'est plus souveraine. Elle subit au nom de l'idéologie des décisions supranationales de plus en plus nombreuses et contraignantes dans tous les domaines", ajoute le député, élu depuis 1993 dans sa circonscription des Yvelines.
Pour valider leur candidature à la primaire des 20 et 27 novembre, les prétendants doivent recueillir d'ici le 9 septembre le parrainage de 250 élus, dont au moins 20 parlementaires, et de 2.500 militants, rapporte l'AFP.